Nom et prénom : Capone. Un patronyme qui coule dans les gangrènes, qui roule sur les langues cognant les palais, la généalogie que l'on craint aussi bien que l'on admire, des mafieux qui posent la paume dans tous les domaines. On souhaite y entrer dans les bonnes grâces, on souhaite être enchaîné à ces individus qui ouvrent les portes en de simples claquements de doigts. Et on croit plus aisé d'atteindre cet objectif en passant par
Faust. L'un des enfants de la généalogie actuelle, celui qui semble être le plus accessible, celui que l'on trouve dans les rues et allées d'un seul et unique coup d'œil.
Age et lieu de naissance : Vingt-sept ans qu'on traîne des pieds sur un pavé que l'on a que trop longtemps abimés sous des semelles. Le temps passe, certains des souvenirs s'effacent, les faciès sont oubliés alors que d'autres restent ancrés dans une mémoire infaillible et physionomiste dans certains rares cas. Tant d'années à briser les cœurs et les âmes qui croisent son chemin, à recoller les morceaux qui se sont effrités au fil des années éreintantes.
Métier : Guide touristique. C'est après son année en centre de désintoxication qu'on lui attribua cette profession. Il n'eut pas à chercher bien longtemps dans le domaine, un coup de pouce d'un père qui en avait marre de voir cet enfant raté s'enfoncer encore plus dans les boues et chemins sinueux. C'est le vilain petit canard de la génération des Capone, celui dont on déplorerait presque la naissance, celui qu'on aimerait retirer du livret de famille bien que cela soit impossible, même pour ceux à la main de fer.
Dealer. Un trait de sa personnalité qui a du mal à s'effacer même après l'année à se refaire en tant qu'homme. Il promet de ne plus toucher aux poudres illicites, aux seringues addictives et pourtant, on reconnaît cette silhouette, carrure masculine à l'attirance qui aguiche les iris curieux. On ne sait pas s'il consomme ou s'il souhaite simplement se faire plus de blé qu'il ne possède déjà, néanmoins, on tendrait à affirmer que parfois, sa sainteté d'esprit s'envole pour un instant de bon temps.
Combat de rue. S'il est connu comme étant un individu assez maladroit, il est bien content que ce trait de caractère soit aussi souligné. En effet, lorsqu'il revient de bagarres de rue organisées par des gangs qui ne font que s'agrandir dans les bas quartiers, il trouve facilement une excuse pour les ecchymoses, hématomes et autres égratignures qui ornent son épiderme. Les combats, ça lui permet d'extérioriser une certaine colère, une certaine amertume qu'il a bien longtemps usé sur des corps innocents. (
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Origines: Ce sont des racines d'une Italie qui se sont ancrées en lui alors que les générations se sont installées dans d'autres contrées européennes il y a bien des époques. Originellement composé d'italiens purs souches, l'arbre généalogique des Capone remonte à des temps anciens et oubliés pour la plupart des lignées. Eux, très conservateurs des valeurs et traditions sur lesquelles reposent chacun de leur fondement depuis leur arrivée en Italie durant le Moyen-Âge, ont gardé des traces des ancêtres qui restent des figures d'exemple pour l'ascendance actuelle.
Statut social : Cela doit bien faire près de quatre ans qu'il a été abandonné par la
seule femme qui a su lui faire tourner la tête. Si étourdi qu'il ne trouvait que le moyen de la frapper d'une poigne qu'il ne contrôlait pas, qu'il ne voulait que raffermir. Puis un jour, elle a craqué, elle a fui. Loin, sûrement trop loin, et il a compris que ces gestes dont il se délectait et qui lui permettait de ramener son esprit dans une certaine clarté, ne faisait que faire sombrer la pauvre femme maltraitée. Que sa part de lumière rendait corrompue l'âme de la belle. Officiellement
célibataire, il ne fait désormais que profiter des carrures féminines, de leurs courbes et de leur cambrures pour satisfaire ses propres besoins ainsi que les leurs. Ce n'est que rarement allé plus loin, bien qu'il ait en mémoire certains femmes qu'il préfère à d'autres, certaines dont il remettrait bien cela une nouvelle fois, à l'occasion. On ne sait pas trop s'il n'est attiré que par les femmes ou que par les hommes, certainement que les deux gents arrivent à le combler.
Traits de caractère : Double-jeu. Acerbe ◇ Avare ◇ Avide ◇ Baratineur ◇ Blessant ◇ Calculateur ◇ Cupide ◇ Désinvolte ◇ Dominateur ◇ Énigmatique ◇ Excessif ◇ Hypocrite ◇ Intransigeant ◇ Maladroit ◇ Méprisant ◇ Mesquin ◇ Naïf ◇ Persécuteur ◇ Possessif ◇ Provocateur ◇ Revanchard. Artistique ◇ Autoritaire ◇ Bienveillant ◇ Capable ◇ Charismatique ◇ Comique ◇ Compétent ◇ Convaincant ◇ Critique ◇ Cultivé ◇ Débrouillard ◇ Drôle ◇ Fêtard.
Groupe, crédits : Residente,
christophrwoodnews.
Per favore non dimenticarmi!Que pensez-vous de l'amour? Une perte de temps. L'amour c'est pour les enfants, le cul c'est pour les plus grands. Sentiment éphémère, celui qui file dans le temps, qui persiste le temps d'un instant avant de sombrer, de s'évanouir dans l'oubli. L'amour demande à ce qu'il n'y ait qu'un receveur, or je préfère donner à tous plutôt qu'à une seule et même personne. On pourrait peut-être dire que j'ai le cœur sur la main, mais on préfère me voir comme un gars qui profite
un peu trop des offres d'une nuit unique. J'ai aimé, j'ai perdu, comme tout le monde. Comparativement à d'autres, je n'essaie pas de répéter ce schéma cyclique, je n'essaie pas de retrouver une perle rare qui pourrait me faire perdre la tête à en décider de me lancer dans une aventure qui demande fidélité et loyauté, alors que l'on sait très bien que ce ne sont pas deux de mes qualités. L'amour reste quelque chose que l'on ne veut partager qu'avec une seule et même personne, c'est quelque chose d'égoïste qui nous fait prendre des choix idiots, stupides et insensés. On devient aveugle sous les charmes de ces sentiments, on devient sénile. Et moi, je tiens à ma
lucidité.
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CAPRICIOUS. Quand il demande, il a. Quand il veut, il prend. Quand il ne peut pas prendre ? Il oblige. C'est ainsi dans tous les domaines. Il joue les grands, il souffle
Capone de ses lippes amusées et on le laisse doucement passer, amertume au fond de la gorge qui vient titiller les gosiers, ceux qui peinent à déglutir sous ce favoritisme inconscient.
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STUBBORN. Quand il dit qu'il a raison, il ne faut pas chercher à le contredire. Il a raison, point final. Insinuer l'inverse serait chercher à le mettre en rogne, à le faire sortir de ses gonds alors qu'il tente tant bien que mal de se contrôler en serrant les dents, la mâchoire et en tendant chacun de ses membres pour éviter que les poings ou les gifles ne volent trop facilement.
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IMPETUOUS. Ça, c'est quand on a fait déborder la goutte d'eau de son vase personnel, d'un centimètre de hauteur. Les poings sont rapides, les injures sont lancées à une allure folle. Il frappe, il cogne, il pourrait presque tuer mais il préfère entendre les gémissements de supplications, de douleur plutôt que d'être plongé dans un silence de mort.
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WILD. L'homme des cavernes, son appartement aussi grand soit-il n'est que bordel, foutoir et caleçons qui traînent sur un parquet qui n'a rien demandé pour subir autant. C'est celui qui agit sans se soucier des conséquences, qui blesse les corps et les sentiments, qui brise les os sous une pression pourtant passionnée dans des instants de tendresse qu'il ne témoigne que sous l'impulsion.
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BREAKER. De verreries. De jolis vases. De tout ce qui se brise. Maladroit, caractéristique que l'on a longtemps trouvé
mignonne, on le plaint désormais d'être aussi retiré de la réalité pour en oublier ses gestes brusques. Il bouscule des passants dans ses rêveries, se prend les pieds dans des tuyaux d'arrosage ou dans des trottoirs surélevés. On en rit puis finalement, on a presque pitié parce qu'on le reconnaît, qu'on met un prénom sur ce visage qu'on a l'habitude de voir amoché. Puis on se doute, que ce ne sont que mensonges articulés. Que ce ne sont pas les chutes qui provoquent de telles blessures.
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POSSESSIVE. Quand quelque chose lui appartient, c'est à vie. Cette fille, là-bas ? Elle est sienne parce qu'il l'a souhaité ainsi. Cet homme qui lui sert de punching-ball ? Le sien. Ce manteau sur le mannequin ? Le sien. L'air ambiant ?
Le sien. Il est la névrose des quartiers, celui qui s'impose et qui n'a malheureusement pas peur de ceux qui souhaitent lui tenir tête, de ceux qui osent remettre en question chacun de ses mouvements, de ses choix, de ses actions.
Un milione di baci Pseudo, prénom : zepplyn.
Commentaire : Avatar : chris wood.
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